Factorio est un jeu de simulation de construction d’usines développé par Wube Software, sorti le 14 août 2020 sur PC, avec l’expansion Space Age publiée le 21 octobre 2024. Incarnez un ingénieur échoué sur une planète, construisant des usines automatisées pour produire des ressources, culminant dans l’exploration spatiale et l’industrialisation interplanétaire.
Un chef-d’œuvre d’automatisation interstellaire
Factorio vous place sur une planète alien où chaque arbre abattu et chaque minerais extrait alimente une usine en expansion constante. Ce simulateur de construction, souvent surnommé « l’addiction ultime » par les fans sur X, culmine avec l’expansion Space Age, où vous bâtissez des plateformes spatiales et colonisez cinq planètes uniques, selon Steam. La campagne, d’environ 40 à 100 heures, évolue d’une simple mine à un empire interplanétaire, avec une rejouabilité infinie grâce à des cartes générées procéduralement et des mods. Aucun autre DLC n’existe, mais Space Age (18 €) double presque le contenu du jeu de base, selon PC Gamer. Loué pour sa profondeur et son optimisation, Factorio est critiqué pour sa courbe d’apprentissage abrupte et son manque de narration, selon Eurogamer. Pour les fans de Satisfactory ou Dyson Sphere Program, c’est un incontournable, addictif mais exigeant.
Un gameplay d’automatisation captivant
Le gameplay de Factorio repose sur l’automatisation : concevez des usines avec des tapis roulants, des bras robotiques, et des raffineries pour transformer des ressources brutes en produits complexes, comme des circuits ou des fusées, selon Steam. L’expansion Space Age ajoute des plateformes spatiales, des fonderies orbitales, et des défis interplanétaires, comme gérer la gravité ou les éruptions volcaniques, selon PC Gamer. Les combats contre des aliens natifs exigent des défenses automatisées, mais restent secondaires face à l’optimisation logistique. La courbe d’apprentissage, complexe avec ses ratios et blueprints, intimide les novices, selon Reddit. En streaming, la satisfaction de voir une usine fonctionner parfaitement hypnotise, mais la complexité peut rebuter les spectateurs. Les performances sont exemplaires, même sur des PC modestes (60 FPS, 1080p), avec une optimisation légendaire. Ce gameplay, profond et addictif, est une ode à l’ingéniosité, malgré son exigence.
Exploration dans un univers industriel
Le monde de Factorio est une planète procédurale, des plaines verdoyantes aux déserts arides, où chaque biome influence vos ressources, selon Eurogamer. Space Age introduit quatre nouvelles planètes (volcanique, forestière, aquatique, glacée) avec des défis uniques, comme des minerais rares ou des conditions extrêmes, selon Steam. L’exploration, guidée par la recherche technologique, débloque des bâtiments avancés, ajoutant 20 à 30 heures pour les complétionnistes. Les hubs, comme les bases orbitales, centralisent la logistique, mais l’absence de PNJ narratifs rend le monde fonctionnel, pas immersif, selon PC Gamer. En streaming, les usines complexes et les voyages spatiaux fascinent, mais les graphismes simples lassent visuellement. Les performances sont fluides, même avec des méga-usines. Ce monde, vaste et mécanique, excelle dans sa liberté, mais manque de cœur narratif.
Une direction artistique et sonore fonctionnelle
Visuellement, Factorio privilégie la fonctionnalité avec un style 2D pixelisé, où chaque machine est lisible, mais les graphismes, datés, manquent de charme, selon Reddit. Space Age améliore les visuels avec des planètes colorées et des animations orbitales, mais reste modeste face à Satisfactory, selon Eurogamer. La bande-son, minimaliste avec des sons industriels et des mélodies ambiantes, soutient l’immersion sans distraire, mais devient répétitive, selon PC Gamer. Les bruitages (vapeur, engrenages) renforcent l’ambiance d’usine, mais il n’y a pas de doublage, l’histoire étant textuelle. Les performances, optimisées pour des milliers d’objets à l’écran, sont un exploit technique. Cette direction artistique, utilitaire mais efficace, sert le gameplay, mais ne brille pas esthétiquement.
Points forts
- Gameplay d’automatisation addictif
- Expansion Space Age ambitieuse
- Optimisation technique exemplaire
- Rejouabilité infinie
- Support de mods robuste
Points faibles
- Courbe d’apprentissage abrupte
- Graphismes datés
- Manque de narration
- Combats secondaires
- Bande-son répétitive
Mon avis
Factorio, avec son expansion Space Age, est une œuvre magistrale de simulation, transformant chaque joueur en architecte d’un empire industriel, salué sur X pour sa profondeur. En streaming, la construction de méga-usines et les voyages spatiaux captivent, mais la complexité peut intimider. Comparé à Satisfactory, il est moins visuel mais plus rigoureux. Ses graphismes simples et son manque de narration, comme critiqué par Eurogamer, limitent son attrait narratif, mais son gameplay addictif compense. À son prix (35 € pour le jeu de base, 18 € pour Space Age), c’est un must sur PC pour les fans de logistique ou de jeux comme Dyson Sphere Program, surtout avec ses mods. Un chef-d’œuvre technique, exigeant mais gratifiant.